Mégôt
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Mégôt découvre plutôt tard le graffiti puisqu'il s'y met à 23 ans. Un principe explique son travail : "lorsque je peins, je veux toujours apporter du rêve." C'est pour cela, qu'il a choisi une écriture autre que le lettrage, qui est pourtant, une des bases du graffiti. Il peint des formes abstraites et géométiques qui ont au fur et à mesure évoluées du noir et blanc à la couleur. Il cherche avant tout à symboliser l'énergie. Aujourd'hui, son travail se décline sur différents supports comme le carton, le bois, le verre, la toile et même sur des oeufs d'autruche.
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Voici maintenant plus de 25 ans que le "graffiti" fait partie intégrante du décor (mouvement initié par les pochoiristes), les plus traditionalistes y voient là une décadence de la culture réunionnaise. Mais pour la majorité, ces "bombages" appartiennent au patrimoine local au même titre que les murs peints publicitaires. |