Noar
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Noar pratique le graff depuis quâ??il a 18 ans. Très influencĂ© par la bande-dessinĂ©e, il peint depuis toujours des portraits « très graphiques » aux contours noirs. Il utilise toutes les couleurs,
« surtout les bombes qui me restent et que jâ??ai en stock ». Ses Ă©tudes en communication visuelle lui ont permis de rencontrer des gens qui lâ??ont poussĂ©s Ă se renouveler. Mais Noar ne poursuit aucun but ou ne se veut porteur dâ??aucun message; Ă lâ??exception peut-ĂŞtre que « du plaisir de peindre ». Il se fait donc très rare en galerie ou en exposition, mais se retrouve dans la rue, encore et toujours « pour le plaisir ».
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Voici maintenant plus de 25 ans que le "graffiti" fait partie intégrante du décor (mouvement initié par les pochoiristes), les plus traditionalistes y voient là une décadence de la culture réunionnaise. Mais pour la majorité, ces "bombages" appartiennent au patrimoine local au même titre que les murs peints publicitaires. |